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17h46 CEST
12/07/2025
L’interpellation du journaliste sportif Alain Denis Ikoul à Douala a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Dans la foulée, des soupçons ont été dirigés vers Samuel Eto’o, président de la FECAFOOT. Pourtant, les faits montrent que la plainte à l’origine de cette affaire vient d’une toute autre personne : Sam Séverin Ango. Retour sur une confusion médiatique. Vendredi 11 juillet 2025, Alain Denis Ikoul est interpellé par des gendarmes alors qu’il participait à une partie de football à PK8, Douala. Aucun mandat, aucune convocation préalable. L’image d’un journaliste « enlevé » choque l’opinion. Rapidement, les réseaux sociaux s’enflamment, et des noms commencent à circuler. Celui de Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), revient avec insistance. Sans preuve, sans lien direct.
« Quoi qu’il en soit et quelle qu’en soit l’issue, le blogueur devrait comprendre que tout le monde n’a pas la patience, la clémence encore moins la hauteur du président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o, qui laisse sans sourciller son nom être laminé au quotidien par des freluquets en mal de sensation »
, a-t-il écrit sur sa page. Si Eto’o a été vivement attaqué par Ikoul ces derniers mois, rien ne permet de dire qu’il a orchestré cette arrestation. La confusion entretenue sur les réseaux a masqué le vrai fond du dossier : une plainte individuelle, sans rapport avec la FECAFOOT. Comme souvent, le buzz a devancé les faits – au détriment de la vérité.